Bonjour,
Nous commençons traditionnellement l’année par une galette des rois, que nous tirerons le 23 janvier (grève oblige Balthazar Gaspard Melchior et pis Fanny sont en retard) chez Moon Harbour exceptionnellement pour ce dixième anniversaire. La galette au whisky, un nouveau concept à 18€.
La visite est organisée comme suit :
- Présentation de Moon Harbour
- Visite de la zone de stockage des matières premières (explications sur le maltage, sur la fabrication du whisky)
- Visite de la cuverie
- Visite de la salle des alambics
- Visite du chai de vieillissement (bunker de la seconde guerre)
- Dégustation de nos produits (3 whiskys, 1 Gin, 2 Rhums)
- Diffusion du film de la construction.
- Diffusion de photos historiques de la zone de Bacalan
Pour vous inscrire, cliquez là : Moon Harbour
Rendez-vous à 18h00 : Moon Harbour, 492, Bd Alfred DANEY, 33300 BORDEAUX
Le GEDA atteint sa dixième année d’existence en l’an 2020 (ou 2000 vins, ou vinvin) quoiqu’il en soit c’est un signe que la providence ou le très haut a en grande estime notre fondateur Philippe JUNCA, seules les âmes bien nées profitent de ces coïncidences. Aussi, nous avons décidé de publier Le Petit Livre Bordeaux, (qui sera au GEDA ce que le Petit Livre Rouge était à Mao) où sont accumoncelées (ce n’est pas une faute, mais une audace littéraire qui, par la concaténation de deux verbes, donne une force incroyable à la phrase) toutes les pensées, aphorismes, adages, fulgurances et autres élucubrations de notre président bien aimé, (que Dieu le protège lui et sa famille in secula seculorum amen) c’est-à-dire tout ce qu’il a dit à jeun mais surtout bourré, c’est là que son esprit fertile s’exprime le mieux.
L’histoire retiendra :
– Amis du GEDA êtes-vous làààAAAAAàààAAAàààà ? Célèbre cri qui sème la frayeur dans les régions reculées de Gascogne, de Guyenne et même d’Euskadi où il a provoqué quelques ménopauses précoces et la chute de stérilets chez les soubrettes plus très jeunes qui œuvraient à étancher notre soif.
– Un bon armagnac, ça vous remet le facteur sur le vélo (il l’a même connu à cheval le facteur, c’est pour ça qu’il peint maintenant !!!) ; d’ailleurs avec quelques GEDAÏS (dont des bretons bien sûr) ils le remettent 7 ou 8 fois à vélo après les rencontres le facteur, et on se demande pourquoi le courrier a du retard.
– Sa chanson préférée réservée aux plus de 18 ans figure elle dans un livret à part, mais sans supplément : il y est question de Kafka qui met des gâteaux dans une boîte, et tout le monde après veut lécher la boîte à Kafka ; c’est un peu l’inventeur des restos du cul-inaire. Je dois dire que je n’ai jamais tout compris, la philosophie ce n’est pas mon fort bien que je sois carré. (Je ne sais pas si tout le monde l’a celle-là)
Cet opuscule, qui ne lui vaudra surement pas le Goncourt (ni le con gourd même s’il fait très froid), doit servir de livre de chevet à tous les GEDAÏS ; vous pouvez vous le procurer pour la somme de 19.80 € (aux éditions de la fleur bleue et des amis de la poésie) dans toutes les bonnes librairies (et dans les mauvaises aussi), la totalité des bénéfices étant reversée à une association caritative qui a pour vocation première le bien-être des membres du bureau. C’est que ça tête ces bestiaux quand ça réfléchit vin diou !
Bonne Année !!!


Accrocher des couronnes sur un lustre haut perché, quoi de plus simple quand on a des convictions. Trouver des fèves dans les endroits les plus improbables demande de la méthode. Ma pudeur naturelle m’interdit d’en dire davantage. Ce soir, le restodugolf sent bon l’humeur de ce petit village si cher à Asterix. Dernières Gauloiseries avant que les clefs de l’endroit ne soient dignement remises à la maison mère.
Merci Maryse, merci Christian, merci Thibaut d’avoir accompagné nos délires tout au long de ces huit dernières années. Vous allez nous manquer, à moins que vous décidiez de continuer l’aventure. Sachez qu’il y aura toujours une place pour vous parmi nous.
Confidence sincèrement grivoise pour en masquer la tristesse, « qu’une si belle histoire se finisse ainsi, ça me troue le c.. ».
D’où il est, Patrick ne doit pas comprendre le truc, moi non plus d’ailleurs, je préfère aller me cacher pour pleurer.
La bise à vous tous.
Philippe JUNCA.
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